Un drame a frappé la gendarmerie de Wissembourg (Bas-Rhin). Dans la nuit de jeudi à vendredi, un gendarme de 38 ans, affecté au peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG), s’est donné la mort avec son arme de service au sein même de la caserne.

Le militaire, père de deux enfants, était en poste depuis plusieurs années. Son décès a été confirmé ce mardi par la gendarmerie, qui a exprimé son profond soutien à la famille et aux proches du défunt.

Une cellule psychologique a été immédiatement mise en place afin d’accompagner ses collègues, très éprouvés par la disparition de l’un des leurs. Les circonstances exactes du geste n’ont pas été précisées.

Ce nouveau drame survient dans un contexte où la question du mal-être au sein des forces de l’ordre reste préoccupante. Les associations de soutien aux gendarmes et policiers rappellent régulièrement l’importance de renforcer la prévention du suicide et l’accompagnement psychologique.

Une enquête interne a été ouverte afin de mieux comprendre les circonstances de ce geste tragique.